L'Ampoule

Le gris a gagné. Pas le noir. Pas l’obscurité. Elle aurait sûrement réveillé les esprits dans une sorte de pulsion de vie. Non. Juste ce gris. Celui qui s’est insinué sous la peau et qui promet à celui qui s’est laissé tatouer une existence avec moins de saveur, moins d’éclat, grise. 
Sólveig maudit ce gris.
« Tu vas répondre, elle est où l’ampoule ? » crache une nouvelle fois le milicien.
 
Dans cette forme dystopique, s’approchant inexorablement de notre réalité …l’auteur a voulu glisser du gris vers la couleur en dessinant une issue utopique.
 
L’Ampoule est une ode au rêve qui transforme.